Humour dominical

marché aux puces de rigueur…

… quelques histoires de puces !
D’abord un peu d’Histoire :

« … dans la longue histoire de l’Europe, aucune autre époque ne fut sans doute aussi sale que le XVIIe siècle.
À la saleté et la souillure hélas ! ordinaires, dues aux malheurs du temps (guerres, famines, épidémies, crise climatique, catastrophes naturelles) s’ajoutent désormais celles qu’engendre le discours nouveau d’un grand nombre de médecins : l’eau est mauvaise pour le corps ; la peau mouillée est perméable à toutes les infections ; mieux vaut se laver peu souvent, et se baigner encore moins ; surtout, il faut fuir les bains publics, lieux de débauche et de pestilence. Pour bon nombre de médecins, changer de chemise régulièrement et se parfumer abondamment suffit pour être propre. »
https://www.arkhe-editions.com/magazine/michel-pastoureau-et-lhistoire-de-la-puce/

Maintenant quelques histoires de puces :
– Un pou et une puce font une course, lequel des deux va gagner ?
Le pou car il est toujours en tête.

Trois puces se rencontrent à la fin des vacances. La première demande :
– Où avez-vous passé votre congé ?
– Moi, formidable… Sur le dos d’un caniche. Je me suis retrouvée en Espagne… un voyage super !
– Moi, en Italie avec un épagneul… Une promenade magnifique ! Et toi ?
– M’en parlez pas… J’ai pas eu de chance ! Je suis tombée dans le porte-monnaie d’un « rat ». Je n’ai pas vu le jour de l’été !

Et d’autres animaux :
– Le coup du lapin, ça doit être mortel pour une girafe…

 

– Un motard fonçait à 130 km/h sur une route déserte quand il se trouve nez à nez avec un petit moineau. Il fait tout ce qu’il peut pour l’éviter mais la collision est inévitable !
La malheureuse petite bête fait quelques pirouettes sur le bitume, tombe sur le dos ailes étendues. Pris de remords, le motard s’arrête, ramasse la bestiole inconsciente, l’installe douillettement dans une cage avec un peu de pain et une soucoupe d’eau pour quand elle se réveillera…
Le lendemain, l’oiseau se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d’eau :
« Bon sang de bois ! J’ai tué le motard et me v’là en taule! »

 

Pour finir, une histoire d’homme !

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