Journée des droits de la femme

8 mars ! Journée internationale des DROITS de la femme.
Droit à la paix, à la dignité, au respect : voir les féminicides en recrudescence, Covid oblige…
Droit à un salaire décent : « à travail égal, salaire égal ». Slogan déjà crié en 1973 !
Droit à la liberté de son corps : voir les modes vestimentaires selon les traditions, voir le droit à l’avortement remis en cause de plus en plus fréquemment, voir les réflexions toujours aussi ambiguës à propos des viols…

Ne nous étonnons donc pas du bruit des Femen,
des Chiennes de Garde et autres Glorieuses !

Écoutons les injonctions subies, les refus niés, les paroles dépréciées.
Entendons-les en bienveillante « sororité ».

Femen (translittération du nom ukrainien : Фемен) est un groupe féministe d’origine ukrainienne, fondé à Kiev en 2008 par Anna Hutsol, Oksana Chatchko et Oleksandra Shevchenko.
Le groupe devient internationalement connu en organisant des actions, essentiellement seins nus avec des slogans écrits sur le corps, dans le but de défendre les droits des femmes, ce qui le conduit aussi à s’impliquer sur plusieurs autres sujets, notamment pour la démocratie et contre la corruption, la prostitution ou encore l’influence des religions dans la société.
Les militantes de Femen sont adeptes d’un féminisme radical qu’elles appellent «sextrémisme». Le mouvement Femen s’affirme athée, antireligieux et reproche à la laïcité d’être «une façon d’accepter l’inacceptable».Les Chiennes de garde est une association française créée en 1999 par l’écrivaine Florence Montreynaud et la romancière Isabelle Alonso. S’inscrivant dans la mouvance féministe, l’association défend les femmes contre les insultes sexistes, notamment dans l’espace public, les médias, la publicité. Florence Montreynaud a choisi le nom de «chiennes de garde» comme traduction de l’anglais «watchdog» (chien de garde).
Elles résument leur action en trois mots : «décrypter, dénoncer, résister». D’autre part, les Chiennes de garde manifestent sous une banderole annonçant : «Le féminisme n’a jamais tué personne, le machisme tue tous les jours». Citation de Benoîte Groult, écrivaine et signataire de leur manifeste.Les Glorieuses est une newsletter féministe lancée en octobre 2015 par Rebecca Amsellem et produite par Gloria Media. Toutes les semaines, cette newsletter traite de sujets comme la politique, la maternité, la culture, le sexe… de sujets navigant entre la politique et la pop culture : le féminisme light, apprendre à dire non, le tabou des règles, les discriminations de genre, le post-féminisme. C’est un tremplin pour défendre l’égalité entre les femmes et les hommes. C’est aussi une  plateforme politique et non-partisane « Les Femmes ont le Pouvoir » qui analyse les discours de nos élus, dans le prisme du féminisme.
Aujourd’hui, Les Glorieuses est une communauté, un réseau, de plus de 150 000 personnes qui se réunit chaque mois autour de son Club et 80 000 abonné.es à la newsletter. C’est une sororité de femmes unies par le commun désir d’être pleinement les égales des hommes.
Dans la presse ce matin :
Libération pour la lettre d’un violeur
Marie-Claire pour un n° spécial en collaboration avec France-Inter qui y consacre la journée

https://fr-fr.facebook.com/femenmovement/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Femen
https://chiennesdegarde.fr/qui-sommes-nous/autoportraits-des-responsables/
https://chiennesdegarde.fr/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Chiennes_de_garde
https://lesglorieuses.fr/
https://www.lexception.com/fr-fr/magazine/les-glorieuses-newsletter-feministe

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