Adessias à tous les joueurs !

Voici les explications sur l’utilisation de la jarre.

Elle était vernissée sur tout l’intérieur et une partie seulement de l’extérieur, selon la hauteur à laquelle on souhaitait l’enterrer. On l’enterrait pour garder au frais l’huile d’olive. Puis, on tirait la quantité voulue au fur et à mesure des besoins. Aujourd’hui cette technique est abandonnée au profit des bidons et bouteilles.

Fabriquer de l’huile d’olive :
L’olivier, Olea Europea, est un arbre dont la culture est adaptée au climat sec et ensoleillé. Les fruits sont mûrs en novembre et la récolte commence.
Les variétés cultivées en Luberon sont la Picholine, l’Aglandau, la Verdale de Carpentras, la Bouteillan, la Salonenque, la Cayon et aussi la Luque.

 

 

 

Pour recevoir l’appellation « huile d’olive vierge », l’huile doit être extraite à froid et de première pression. En fait, du jus de fruit sans ajout ou transformation.

Avant d’entrer dans le moulin, les olives sont lavées en extérieur, de façon énergique pour les rincer de la poussière et de l’argile appliqués sur les arbres pour les protéger de la mouche de l’olive.
Une fois propres, elles sont acheminées vers le broyeur qui les concasse. La pâte d’olive est malaxée pendant 30 minutes à une heure, à une température de 26 °C environ. Une centrifugeuse sépare l’huile de l’eau et des grignons. Les grignons, sont des résidus solides : peaux, résidus de pulpe, fragments de noyaux… Les résidus liquides sont appelés margines.
L’huile est ensuite stockée dans des cuves en inox avant d’être mise en bidon ou en bouteille.

Pour obtenir 1 litre d’huile, il faut entre 5 kg et 8 kg d’olives…

 

sources :
Musée de l’huile d’olive-La Royère à Oppède.
– Wikipédia

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