humour

quelques blagues au jardin ou sur la plage ou en montagne…

Un père et son fils se promènent sur les quais d’un port de plaisance :
– Dis, papa, c’est quoi ce gros bateau ?
– C’est un yacht.
– Et comment ça s’écrit ?
– Non, je crois que tu as raison, c’est un gros bateau.

 

Au cours d’une croisière, une tempête fait rage. Sur le pont du bateau un marin s’approche d’une dame et dit :
– Vous ne devriez pas rester là, madame, une vague pourrait vous emporter…Un homme qui se trouve à coté se retourne et dit au marin :
– Dites donc, occupez-vous de vos affaires, c’est ma belle-mère pas la vôtre !

 

 

Un adepte des médecins douces conseille un ami qui a pris un sérieux coup de froid :
– Pour te soigner, il n’y a rien de mieux que le miel.
– Ah bon ? T’es sûr ?
– Tout à fait ! Et pour preuve : t’as déjà vu une abeille enrhumée ?

Dans le métro, une jeune femme dit en souriant à l’homme qui, profitant de l’affluence pendant l’heure de pointe, a glissé une main sous sa robe :
– Montez plus haut !
L’homme, surpris, hésite.
– Allez-y, montez jusqu’au-dessus de ma culotte. Vous sentirez une ceinture, détachez-la et regardez-la bien ! C’est une ceinture noire de karaté. Elle vous donnera une petite idée de la magistrale correction qui vous attend dès que nous serons en tête-à-tête sur le quai !

Dans cette ville, on ne plaisante pas avec l’hygiène, même pour un besoin pressant que beaucoup de touristes s’autorisent quand ils se baignent dans la mer. Ils pensent sans doute que les courants vont jouer le rôle de chasse d’eau. Mais ça n’est en réalité pas le cas et si vous êtes pris sur le fait, celui de faire pipi l’air de rien en faisant un peu de brasse, vous risquez une amende de 750 euros… C’est la cité balnéaire de Marbella, située sur la Costa del Sol, en Andalousie (Espagne) connue comme la plus huppée du pays, qui a constaté que dès que le soleil commence à décliner et que la lumière diminue, les vacanciers ont tendance à se lâcher : pipi debout ou accroupi, depuis le sable au bord de l’eau … Info diffusée par la revue Courrier International et reprise par Marie-Claire

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