Chacun utilise son temps à son ou ses violon(s) d’Ingres. Certains d’entre vous écrivent, c’est le cas de Gérard. voici un de ses textes :

Notre société est devenue un monde de révoltés.
Mais à y regarder de plus près il n’y a pas beaucoup à chercher ;
Nous sommes chaque jour oppressés par un sentiment d’insécurité.
Et notre prime jeunesse en est souvent la maîtresse.
Via les réseaux sociaux qui se plaisent à en ressasser les éditoriaux ;
Hier encore, nos jouets, nos outils, nos meubles, se passaient de mains en mains, sans avoir la crainte ou le souci qu’ils seraient obsolètes demain.
Aujourd’hui, cette crainte ce souci est notre pain quotidien, car, cet achat, cette acquisition, voire ces investissements, ne supportent plus l’usure du temps.
Et ce virus qui nous ronge, lentement, insidieusement, nous l’avons commercialisé, mondialisé.
De fait, année après année, il s’est insinué dans notre intimité, jusqu’à l’assimiler et le digérer.
Mais, à ne pas être entendu, il finit par descendre dans la rue !
Cette digestion, se transforme en constipation, et le péquin du coin ne supporte plus ces produits qui durent le temps… d’un baisemain.
Et si le soulèvement des «gilets jaunes» s’est effectué
Je ne dois pas être loin d’une des raisons invoquées,
Pour lequel se sont regroupés les inféodés.
En conclusion : Les moins fortunés vivent de plus en plus dans la pauvreté, et par effet de conséquence, les matières premières ne font que se raréfier.

…La finalité… Je vous laisse le soin de l’appréhender.

C.Q.F.D.