faisant de la nature… à l’image du poème de Charles Trénet,
Un jardin extraordinaire !
Loin des noirs buildings et des passages cloutés
Y avait un bal qu’donnaient des primevères
Dans un coin d’verdure deux petites grenouilles chantaient…
Bien qu’aujourd’hui tous « mes » jardins sont construits et que la mare aux grenouilles à disparu dans le béton, les mimosas explosent, les perce-neige traversent la mousse humide, les primevères tiennent la une, les jonquilles vont bientôt ouvrir leur corolle, les crocus égayent la pelouse, les lilas et les rosiers préparent leurs boutons…
N’oublions pas les oiseaux, auxquels quelques graines font plaisir.
Merci Monsieur Trénet, grâce à vous, la bonne humeur demeure.
Pour écouter la chanson : https://www.youtube.com/watch?v=qdO1TNCJru8